Voici mon test pour avoir Gobi:
Test rp d'une soixante de lignes :
Aujourd'hui, je courais. Vers où? Vers quoi? Je l’ignorais. Je courais parce que je sentais que je devais allez là où je vais sans savoir qu’est-ce que j’allais devoir faire une fois arrivez. Je courais dans le territoire de Kiri, un lieu que je n'avais jamais exploré auparavant malgré mes nombreuses vagabonderies après la mort de mes parents adoptifs. Quoi que, certains endroits me rappellent des souvenirs, des souvenirs qui remontent aux camps d'esclaves dans lequel je fus enfermez avec tant d'autres enfants. Je me rappelle encore des chiens enragés et maigres comme des clous, des esclavagiste affreux et sans attrait et des enfants en cage tel du bétail qu'on emmené à l'abattoir. Je me rappelle d'Akainu, ce jeune enfant qu'elle avait rencontré là-bas. Le pauvre, cela fessait six mois qu'il était enfermé et il avait perdu son seul ami dans se camp de malpropres. Quand j'ai vu comment, il était traité, j'avais pété un câble. Ce fut tellement brusque et rapide que je ne me souviens plus rien de ce qui c'était passé.
Mais ce n'est pas la grande question aujourd'hui. La question est pourquoi suis-je ici? Qu'est-ce qui m'a conduit jusque-là. Maintenant, j’étais dans un marécage boueux d'une plaine de Kiri. Je devais être dans le nord-est du pays. Je ne sais plus où précisément. C'était silencieux, trop silencieux. Seuls quelque oiseaux étaient là, en train de me regardez de leur yeux rapides et malins. Une grue au plumes d'un blanc majestueux passait par là, de son pas léger et sans bruit. Il s'arrêta pour me regardez d'un regard curieux, mais sans aucun attrait. Moi aussi, je le regardais. Au bout de quelque minutes d'observations, il finit par s'envolez, je pus entendre le doux froissement de ces ailes et certaines de ces plumes tombèrent dans la boue du marécage. J'en ramassai une, la mit dans ma poche et continua mon chemin avant d'être interpellé par un faucon.
Il me disait de rebroussez chemin, que par là, je fonçais droit vers un camp de ninja Nukenins sauvages et cruels. Je souri, disant que je n'avais pas peur. L'oiseau me répondit alors que c'était mon choix et que se rait ma faute si il m'arrivait malheur, mais quand ce moment, les Nukenins détenaient une créature très étrange. Il me décrivit la créature comme un grand chien blanc à cinq queues. Un chien blanc, voilà quelque chose d'étrange. Ma curiosité me poussa à continuez mon chemin malgré les avertissements de cet oiseau qui se croyait malin.
Je continuai donc, préparant mon équipement pour voir ce qui m'attendait ici. Il fallait mieux être prêt à tout, car un monstre comme ça ne doit pas être facile à maitrisez. Arrivé au niveau du camp, je me faufilai à travers les buissons et observa alentours. Je vis des tentes, un foyer pour un feu de camp, bref ce qui constitue un camp normal. J'allais rebroussez chemin, pensait que ce camps était tout à fait normal quand j'entendis des coups de fouets, des cris de douleur et des hurlements ordonnant d'avancez. Je me demandais de quoi il s'agissait et tout doucement, je m’approchai du lieu des ces bruits pour apercevoir un horrible spectacle: une créature géante, une sorte de chien blanc et possédant cinq queues était en train d'être battu, frappé par les coups de fouet de ninjas Nukenins. Ces coups étaient si fort que la pauvre créature hurlait quasiment à chacun d'eux. Je vis le sang coulez sur son pelage blanc et entendit les rires malfaisant ces hommes qui exploitait cette créature. Elle ne semblait pas pouvoir parlez, mais je sentais qu'elle appelait au secours. Son cri résonnait dans ma tête et mon regard ne put se détachez du sien, pétrifié par la peur et la souffrance. J’étais immobile, tremblant comme une feuille en voyant cette scène macabre. La peur me fit reculez, grave erreur, mon pas fit craquez une branche morte et sèche sui fit un bruit résonnant dans le camp. Les ninjas arrêtèrent leurs occupations pour voir ce qui venait de faire ce bruit et ils me remarquaient. Je continuai de reculez pendant qu’eux avançait vers moi, leurs fouets, kunaïs et autres armes à la main.
C’est alors que mon regard croisa celui de la pauvre créature maltraité, ces yeux presque emplis de larmes me supplièrent de l’aidez. Je ne pouvais plus continuez de reculez et de fuir, je le savais, je devais aidez cette étrange créature. L’abandonnez serait pire que la tuez de mes propres mains. Je fermai les yeux un instant, pendant que ces brutes continuait d’avancez vers moi pour me tuez avant de reprendre leur jeu idiot avec la victime enchainée à la terre de Kiri. Quand je les rouvris, on voyait une rage grandirent en eux. Je ne pouvais plus voir cette torture incessante, cet acte barbare ne méritait que d’être puni par la lumière des véritables ninjas. Même si je ne suis plus pur, je protégerais cet être, même si lui aussi est un monstre. Je poussai un cri venu du fond de mon cœur tandis que la pluie et le tonnerre commençait à s’abattre sur cette plaine du pays de l’eau. Eclairs et gouttes de pluies s’abattaient sur la terre avec leurs violences éternelles. Cet orage était venu avec ma colère et ma promesses que je venais de me faire : sauvez cette créature peu importe ce qu’elle est vraiment. Je pris mon sabre, un des mes sabres noir comme l’ombre des profonds enfers. Avec l’orage était venue le vent, un vent qui secoua mes cheveux et soulevait légèrement ma capuche. Encore un éclair, mais celui frappât un arbre qui s’enflammât comme mon cœur s’était embrassé en voyant la détresse de la créature sans nom. Mes yeux foudroyait les ninjas qui eurent peur un court instant, puis coururent vers moi. Je ne sais par quelle miracle j’eu la force de me battre avec cet acharnement, ils étaient une vingtaine et moi, j’étais seule, devant eux, j’aurais du fuir, mais c’était oublié cette promesse faite à mon cœur. Je couru vers eux et mon sabre finiras par tous les tranchez après quelque échanges. Le dernier était coriace et à la fin, je fus couverte de blessure. J’avais à peine la force d’être debout, mais cependant, il fallait que j’aille libérez cette créature.
Quand je m’approchai d’elle, elle voulut me mordre. Elle se débattait, s’épuisant davantage. Je tentais de la rassurez, soignais ces blessures et lui parlant comme parlait ma mère adoptive aux animaux de la forêt. Elle finissait par se calmez, mais à peine lui ai-je enlevez ces chaines qui se leva brusquement et m’attaqua sans raison apparente. La créature se cabrait et à chaque fois que ces sabots touchaient le sol, une secousse sismique recouvrit la terre et me projeta vers la terre. La créature hennissais, se cabrant encore pour me repoussez avant de parlez, et cela à ma grande surprise :
-J’ignore qui tu es et pourquoi tu m’as sauvé, mais je n’avais pas besoin de ton aide. Avant que je ne te tue, sache mon nom. Je suis Gobi, le démon à cinq queues !!!
Gobi ? je venais de sauvez la vie d’un démon à queues.. Je n’y croyais pas et pourtant, je l’avais fait. Le démon ne semblait pas vouloir acceptez le fait qu’un simple humain tel que moi l’ai aidé. Alors qu’il allait me portez un coup fatal, il tomba lourdement à terre, apparemment, il était trop faible et il à trop forcée en voulant faire le fier. Il ouvrit les yeux et le regardât d’un regard malsain avant de me parlez à nouveau de sa voix forte, mais faible
-Je n’ai plus le choix. Nous allons devoir ne faire qu’un tout les deux si je veux espérez vivre. Et puis je te le dois bien, ma puissance pour ma vie. Qu’en dis-tu ?
Je secouai la tête pour dire oui, je n’osais pas parlez face à une sorte de dieu sur cette terre. Il s’approcha de moi en rampant doucement puis m’enserras dans ces cinq queues blanches, mouillés par la pluie et salies par la boue et le sang. J’avais peur, mais je fessais confiance à ce démon. D’un seul coup je sentis un autre chakra entrez en moi, un chakra très mystérieux, c’était celui du démon qui lentement, voyait ces queues disparaitre, leurs puissances entraient en moi, mais je commençais à ne plus pouvoir tenir avec tout ce chakra en moi. Je hurlais ma douleur, même si seuls les oiseaux entendaient mon cri. Et la voix du démon me disant de tenir bon, le processus allait bientôt finir, mais je ne tenais plus, je tombai à terre, ne pouvant plus restez éveillé, je fini par m’endormir, ce chakra nouveau en moi.
Quand je me réveillai, je n’étais plus dans les marécages de Kiri, mais à l’hôpital de ce village. Mon frère était à mes cotés et fut heureux de me voir me réveillez. Il m’expliqua que c’était lui et son groupe qui m’avait retrouvé sous la pluie. Je demandai alors si il avait remarqué quelque chose d’étrange, il me dit juste que Kakashi avait senti un étrange chakra en moi. Alors ce n’était pas un rêve, j’avais fait un pacte avec ce démon, je suis devenu Jinchuriki du puissant Gobi, le démon à cinq queues.
Mais j’ignorais si je maitrisais toute sa puissance, alors le lendemain, j’allai m’isolez pour discutez avec lui. Il me dit qu’il m’obéirait, mais uniquement si j’ai une bonne raison de faire appel à lui et qu'il viendrait de lui-même si j'était en dangez sans pouvoir réagir, il était tel un gardien. Il m’expliqua qu’il maitrisait le Raiton et le Suiton, deux éléments que savait bien travaillez ensemble. Je lui demandant alors comment ca allez ce passez si je fesait appel à lui. Il m’expliqua alors qu’en tout, un jinchuriki pouvait avoir 6 formes :
-Un forme simple, sans chakra, où le jinchuriki se voit légèrement métamorphosé et gagne des aptitudes.
-La forme de manteaux de chakra 1 où un manteau de chakra de la forme du démone envelloppoe son jinchuriki et le laisse voir à travers.
-La forme de manteaux de chakra 2 où un manteau de chakra plus intense enveloppent le jinchuriki, mais on ne peut plus voir de qui il s’agit
-La forme de manteaux de chakra 3 où le squelette du démon en plus petit se rajoute au manteau de la forme 2
-La forme 4 est l’apparence du démon, sans la peau
-Et la forme finale, l’apparence du démon.
Apres m’avoir expliqué tout cela, il retourna au fond de moi en me disant que j’avais le cœur pur. Je n’avais pas comprit de qu’il voulait dire et c’est en repensant mon cousin que je compris que le fait de l’acceptez comme il est était ma source de pureté. Je ne l’ai pas encore dit, pas encore dit que j’étais devenue comme lui, porteuse d’un démon à queue. Je ne voulait pas le faire souffrir pour cela …
Aujourd'hui cependant, je suis avec l'Akatsuki, il m'ont dit qu'ils avaient déja une partie de Gobi, donc la mienne ne les intérresent pas. Je suis avec eux, pour accomplir mon destin...
Accueil 
